Le choix dépend de plusieurs critères : nature de l’activité, nombre d’associés, régime fiscal et social souhaité. Par exemple, l’auto-entreprise est idéale pour tester une activité, alors que la SAS ou la SARL conviennent mieux pour des projets à plusieurs ou nécessitant des investissements.

Des logiciels comme Sage, QuickBooks, Indy (pour freelances), ou Axonaut permettent de gérer facilement la facturation, les déclarations, et le suivi des dépenses. Il est aussi recommandé d’utiliser un outil de gestion bancaire et un calendrier fiscal automatisé.

Les erreurs les plus courantes incluent : une mauvaise gestion de trésorerie, un manque de suivi administratif, l’absence de stratégie commerciale claire, ou encore l’oubli des obligations fiscales et sociales. Pour les éviter, il est essentiel de bien s’entourer (experts, réseaux d’accompagnement) et de suivre des formations ciblées.